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Comega

 

1. Quid
2. Situation générale des lieux
3. Défenses naturelles du site
4. Défenses artificielles

 

1. COMEGA : Quid

Ce terme désigne au sein de la population Norjanaise (excusez-nous ce terme, mais les traductions Talyd-Français sont relativement laxistes) et de l' "univers informé" (les planètes membres de l'AG) une sorte de bureau d'études scientifiques (spécialement mystérieux pour les habitants d'Ohr-Tinpam) ayant apparemment des contacts soit avec le gouvernement Norjanais, soit avec l'AG. Et qui plus est, certains affirment qu'il s'agirait d'un département de la FRAG.

Bien sûr, les MJ ou joueurs initiés que vous êtes auront compris : il ne s'agit que d'une couverture... Enfin, presque, car la base est en partie un centre de recherches à la pointe de la technologie. Il est seulement un peu mieux gardé que les autres, ce qui lui vaut de nombreux "commérages" concernant la soi-disant découverte d'une "énergie suprême", puissante, inépuisable et d'origine psychique, dit-on, qui nous projetterait de pleins pieds dans le NT7.  Je vous vois sourire, mais qu'en savez-vous ? Rares sont les "fourmis" vivant à COMEGA pouvant affirmer quoi que ce soit à ce propos. Rien n'est certain dans ce dédale de couloirs, de zones interdites, de quartiers protégés, de sas d'accès,... tout cela paraissant converger vers les sous-sols. La suspicion est facile, sachant que vous, agents confirmés, n'ont jamais eu accès à ces quartiers mystérieux...

2. Situation générale des lieux

Comme vous le savez, le site de la guilde se trouve perché dans les hauts plateaux de Ohr-Tinpam, à près de 500 km des villes les plus proches. (Kal-Tinpae, Boh-Nehmeen,...)

Parmi celles-ci, Boh-Nehmeen est celle qui entretient les meilleures relations avec COMEGA. Elle fournit presque tout le matériel nécessaire au sanctuaire. C'est également là qu'habitent une partie du personnel non-méga de la guilde.

Le site est précisément situé dans une cuvette, au bord d'un lac. La région est totalement inhabitée dans un rayon de 300 km.  Au nord ouest, on peut observer les flancs rougis et brûlants des montagnes arides, découpées tel des canyons.  A plusieurs endroits, les plateaux surélevés se sont effondrés sur d'impressionnantes distances, formant ainsi des cratères démesurés.  Les parties les plus hospitalières ont été concédées par ces montagnes cuites à la végétation luxuriante de la région, et cela malgré un sol relativement pauvre.

COMEGA, se trouve, lui, sur un autre type de terrain. Toujours perché sur les hauts plateaux de Ohr-Tinpam, le site bénéficie de l'eau écoulée par les plus hautes montagnes du sud et leurs glaciers. Nombreux sont les lacs situés à la même altitude que les plateaux et qui purent lentement se creuser une cuvette dans la roche très dure.

3. Défenses naturelles du site

Trop chaud d'un côté et trop élevé de l'autre, l'accès à la base est donc très rude par la terre. De plus, la région,
inhospitalière, est interdite de survol, comme la majeure partie du centre de ce continent, dues aux difficultés en cas de secours.

Les rares couloirs aériens autorisés traversant les hauts plateaux sont tracés au plus court, au travers de régions plus accessibles. (A noter que seuls l'AG (gardes galactiques et FRAG) et la Guilde sont autorisés à survoler cette zone)

Le seul passage praticable vers la civilisation est une petite vallée discrète à l'ouest, par laquelle s'écoulent les eaux du lac, et communicant, par plusieurs détours à la ville de Boh-Nehmeen, à 500 km de là.

Vous comprendrez que malgré le paysage magnifique entourant notre Guilde, ce n'est pas ici que viendront s'installer les clubs de vacances. Tout ceci constitue bien évidemment une protection naturelle et très intéressante pour notre base. Il ne restait plus qu'à assurer une protection un peu plus technique...

4. Défenses artificielles

Eparpillés aux endroits stratégiques de la forêt, dans un rayon de 100 à 200 km, des avant-postes d'alertes armés, et quasi autonomes, sont en contact permanent avec le QG de sécurité de COMEGA. Ces postes agissent sous couvert (et quelques fois réellement) de la science. (astronomie, météorologie, écologie, tectonique et sismologie,... )
Les besoins en électricité de ces postes sont fournis par des éoliennes modernes rechargeant des accumulateurs, et
surmontées d'un radar discret.

Les environs de la cuvette sont étroitement surveillés par les puissants radars de la base et les postes de garde rapprochés, dissimulés aux abords du lac et du site. Ceux-ci sont très bien équipés et armés (tourelles lasers,...)

Cette zone (appelée le périmètre rapproché) est bordée par des murs de champs de force, parcourus par un quadrillage de courants électriques de faible amplitude, déclenchant une alerte localisée en cas de coupure.
Aussitôt, les caméras correspondant à l'endroit de rupture sont sélectionnées par les ordinateurs des postes de garde, renseignant ainsi la nature de l'agression. Toutefois, les ordinateurs possèdent en mémoire les données concernant les animaux peuplant la région, et peuvent dès lors les identifier sur les images, avant de déclencher une alerte. Si un de ces animaux est rencontré, l'ordinateur peut augmenter légèrement le potentiel électrique du champ, créant de légères décharges visant à faire fuir les "intrus".

Les rivières se jetant dans le lac ainsi que celle qui en est issue sont surveillées aux endroits frontières du périmètre
rapproché par des sonars ainsi que par des postes de gardes, placés sur chaque rive.

En cas d'attaque aérienne, de puissants brouilleurs magnétiques et "psychiques" (matériel expérimental et non encore au point) entrent en action pour suppléer les défenses conventionnelles susmentionnées.

De plus, les bâtiments les plus importants du site (le sanctuaire, l'hôpital, le barrage, les tours de l'astroport,... ) sont protégés par de puissants dômes de champs de force.

A suivre…

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Dernière modification : 18 avril 2000